Un articleintéressant paru récemment dans le NY Times parle de la mafia et son utilisation vrai ou présumé de Facebook. D'ailleurs, plusieurs groupes ont été fondé au soutient ou contre cette organisation criminelle. Cependant, ce qui inquiète le plus les autorités et la police c'est de comprendre si derrière se cèlent effectivement des mafiosi et de détecter comment ils pourraient éventuellement profiter du réseau sociale.
C'est un devoir aussi de s'interroger sur le pouvoir d'influence de l'opinion que ces groupes pro Mafia peuvent avoir. Selon Rita Borsellino, sœur d'un magistrat assassiné par la Mafia, ces groupes ne sont pas différents des sites qui incitent au Nazisme. On ne comprend donc pas pourquoi ils devraient être traité différemment. Selon le Sénateur D'Alia, membre de la commission italienne Anti-mafia , on ne peut pas accepter sur la toile ce qu'on ne tolère pas dans la vie réelle. Ce point de vu pose à nouveau la question du lien très étroit qui se existe sur Facebook entre monde réel et virtuel.
Une autre question s'ouvre à propos du rapport entre liberté d'opinion des individus et soutient aux organisations criminelles. Ce qui met en évidence un ultérieur problème de la toile encore sans véritable solution: le vide presque total de la loi dans ce domaine et la tension entre un monde digital sans frontière et un monde réel où priment les États et les frontières. Une solution est nécessaire au plus vite pour que la loi puisse suivre le monde qui change et être effectivement au service du citoyen.
Etape 1 : L'inscription
Il y a 15 ans